Résultats majeurs

1. mobilisation  des acteurs a plusieurs niveaux

 

1. Mise en place de comités de protection des berges dans chacune des sept communautés :

2. Institution de fora aux niveaux national (6) et transfrontalier (3) pour servir de plate-forme aux représentants des communautés.

 

2. protéction  des berges avec les plantes fixatrices, des arbres fruitiers et du bois de chauffe pour generer des revenus aux communautes 

 

Huit (8) sites de pépinières, 34 000 plants et environ 16 Kilomètres de berges reboisées.

 

3. prise en compte des besoins des communautes dans les activites de reboisement des berges :

 

1. Facilitation de l’accès à l’eau potable : Construction de sept (7) puits pastoraux et maraîchers

 

2. Octroi de matériels et intrants agricoles : semences et matériels de jardinage pour les activités en saison sèche en direction des femmes.

 

3. Réhabilitation du barrage de Sakom : reprise d’activités économiques pour 1137 personnes (dont 592 femmes et 545 hommes).

 

4. Renforcement des compétences : Formation en techniques de conservation des sols, en greffage, en hygiène-environnement et en VIH/SIDA.

 

4. amelioration de l’environnement politique et institutionnel

 

1. Mise en place de cadres de concertation aux niveaux national (Comité Technique Conjoint sur la Gestion Intégrée des Ressources en Eau, CTC-GIRE) et transfrontalier (Comité Transfrontalier de Gestion des ressources en Eau du Nakanbé)

 

2. Elaboration d’un Code de conduite pour la  gestion durable et équitable des ressources en eau du bassin en voie d’être ratifié par les parlements des deux pays.

 

3. Contribution du PAGEV à la création de l’Autorité du Bassin de la Volta (ABV) en tant qu’institution unique de gouvernance de l’eau adoptée par les six Etats riverains (Ghana, Burkina Faso, Bénin, Togo, Mali et Côte d’Ivoire). 

 

5. Compilation  d’une base de donnees d’aide a la décision et au suivi des interventions dans le bassin


1. Identification et hiérarchisation des problèmes liés aux ressources en eau et aux besoins immédiats des communautés

2. Audit de l’eau permettant une meilleure compréhension de la dynamique de la disponibilité et de la demande en eau

3. Amélioration du mécanisme de collecte et de partage des données transfrontalières en vue de la mise en place d’un système d’alertes précoces dans les cas de sécheresse ou d’inondation.


4. Différentes cartes thématiques de base produites et servant à  l’éducation et la conscientisation des communautés.